samedi, février 17, 2007

33 ans, Age c(h)ri(s)tique...

















9 commentaires:

Anonyme a dit…

J'vais t'en faire un, moi d'âge critique; 33 ans, le jeunot!!

Bon, je sais aussi être sympa, même tardivement, alors JOYEUX 33 ANS!

(C'est super, un nouvel ordi qui ne plante pas à propos de tout et de rien - pfff les pages lourdes, pfff!)

;-)

Hasta la vista!

E viva Marseyya!

Seidrik a dit…

Tiens... Une Maridan !
Pour l'histoire, la bonne mère le jour ou trente trois resonne dans la tête, je trouvais cela amusant.
Figurez vous, que, la haut,mon mysticisme de pacotille s'est butté à la réalité de JP foucault en gardien du temple...
Si si ! En personne, faisant visiter à des amis, comme si de rien n'était.
Content de vous retrouver par ici.
Heu.. oui, c'est mon reflêt !
Mais je suis plus beau en vrai ! ;)
Bien le soleil chez vous.

Anonyme a dit…

Plus beau en vrai, et le miroir a résisté? Salsifis, Marseille t'a un de ces teints! (tain, tintin)

Les môôôts et les choz', c'est pas d'la pacotille, surtout si on les fait danser sur les accents. J'aime bien le groove!

-20, -25 celsius, ç'te nuit, mon homme : j'vous passe un p'tit Kebek?

Mais les flocons étaient bien beaux, aujourd'hui, en virvoltant...

Tourlou!

Seidrik a dit…

Tiens donc !
Je pensais que seule, la laideur pouvait fissurer, voir briser, un miroir.
Lorsque je pense à la laideur,il me vient de suite à l'esprit le nom de sa fille chérie ; Mlle vanité...

Alor enfin, des flocons par chez vous !
Et des speciaux qui plus est...
Les virvoltants !
Ceux, qui sans prevenir, vous tombent dans le creux de l'oreille, ou bien dans le coin de l'oeil sans prévenir.
(Les sauvageons des flocons, à n'en point douter !)

Température, -20, -25 !
heu... Vous avez une bonne paire d'après-ski ?
Genre, la petite fourrure en poils de Bisons, une cagoule et tout l'atiraillle ?
Je souris au souvenir que cela m'évoque et me renvoie.
Pas plus haute que ses sept ans, ma soeur s'est vue affublée d'un manteau en poil de loup, un hiver durant.
Sachant que la demoiselle est née en 1980, les flocons de 87 se souviennent encore de ce pokemon en 3/4 blanc macculé marron et gris.
déambulant, malgré la lourdeur de la peaux de bête...
Paris aussi.
Perso, pour ma septième année, le présent souvenir d'un pantalon en cuir violet compense l'injustice vestimentaire.
Ah les parents !
Je vous jure...
Enfin..
cela rend plus fort !
A ce que l'on dit...
Bien le soleil chez vous Maridan.

Anonyme a dit…

Ah non, y a pas que la laideur pour faire s'éclater un miroir. En fait, la Beauté le met à l'épreuve, car il sait qu'il ne peut entièrement la rendre...

Un atiraille de virvoltants, ça doit donner des flocons sauvageons bordés de fourrure, j'suppose. De quoi cauchemarder, surtout pour des Marseillais!! ;-)

Je ne vois pas comment je pourrais faire rivaliser le goût vestimentaire de tes parents avec les miens. Ah, il y a eu les bottes en loup-marin : le grand chic, oui.

Quant à l'hiver, il est nous tombé dessus le 15 janvier, et la neige ne s'est pas faite trop rare depuis. Encore ce week-end. Mais là, c'est la dernière, je le sens; je le veux; j'ai dit!

J'ai téléchargé quelques-unes de tes jolies photos pour m'en faire des fonds d'écran, en attendant le printemps. Et pour la rêverie.

Au fait, tu écris, à part dessiner? Si non, tu devrais.

Sayonara.

Seidrik a dit…

Dessiner...
Comme vous êtes réductrice Marie-Danielle !
j'essaie de ne pas prendre la mouche,
mais faire se rencontrer, cohabiter, figuratif et abstrait, écriture et symbôles, mines et pinceaux, encres et pastels, actualités et histoire, nourritures de toutes sortes et ironie du moment,dans un cadrage variable et une lumière en mouvement, le tout, en général, assaisoné d'une illustation sonore...
Bref,
une expression dans son évolution.
Je croyais me decarcasser.
Je n'aime pas dire...
J'aime faire deviner !
encore perdu.
Même si le tout a la forme d'un compliment, je suis quelque peu déçu par votre oeil.
Pour être peintre, il faut de l'huile...
Ah... D'accord !
Dites vous bien, que j' apprécie me confronter à toutes les expressions
que je suis voué à rencontrer.
Le cinéma et l'écriture restent à l'état de projets...
les bonnes rencontres se faisant rares.
Je veux dire, les rencontres qui aboutissent.
Bien le soleil chez vous.

Fond d'écran.

Anonyme a dit…

Aïe!
Ouch!
Ouille!
Ayoye!

Skoûzâtez, Seidrik, je mregrette l'emploi mlaheureux d'un seul terme aussi réducteur, alors je m'en mords les doigts...

Aïe!
Ouch!
Ouille!
Ayoye!

Mais non, vous n'avez pas perdu. En fait, ce que j'ai voulu dire, c'était qu'en plus de ce talent pour les beaux arts, je vous trouvais un style littéraire, ce que je ne reconnais pas à tout le monde.

Et le fond d'écran, ben, c'est tout ce que je peux m'offrir, sinon je serais mécène, hein, eh oh!

Aïe!
Ouch!
Ouille!
Ayoye!

Mais je ferais peut-être aussi bien de me taire et ne pas laisser des commentaires qui m'incriminent et qui horripilent, finalement. Un autre exemple, si besoin était, que l'enfer est pavé de bonnes intentions.

Aïe!
Ouch!
Ouille!
Ayoye!

Je suis aussi bien de signer, avant que ça ne saigne trop, et vous salue, l'Artiste!

Seidrik a dit…

;) Je ne voulais pas être aussi Pastel.. heu... aussi sec !
Vous avez le talent du compliment qui pique.
C'est un atout, mais utilsez le avec coeur.
Trêfle de plaisanterie, vous êtes la bienvenue quand bon vous semble.
Echanger des mots, des idées, c'est une richesse inestimable.
Je ne comprends pas, d'ailleur, le si peu de personnes prenant le temps s'exprimer...
Je suis une piplette du clavier si l'on me reveille !
Vous, Traube, Stéphane, êtes les rares personnes à venir vous aventurer.
Des expressions, j'en offre beaucoup.
Des picturales tout autant.
Tout au temps...
Bien le soleil chez vous Maridan.

Anonyme a dit…

Pour ramener les choses "dans leurs grosseurs" (expression que fait dire à l'un de ses personnages l'écrivain Victor-Lévy Beaulieu), ma [malheureuse] question initiale doit sa formulation au fait que la fatigue commençait à se faire sentir et que j'allais signer et m'est revenu ce commentaire que je me faisais intérieurement lorsque vous lisant ici et là, sauf que l'attention étant en descente, c'est sorti de façon maladroite.

Le soleil est resplendissant. Je joins un croissant, et que votre nuit baigne dans la lumière (c'est très intéressé : ça nous fera éventuellement un beau tableau ;-) ). Ciao.